U-Ride

je pense que tu peux border à fond si tu fais un back loop bas et à plat.
Par contre pour rester au dessus et garder de la portance, je pense qu il ne faut pas trop border au sortir de la vague car ça fait partir sur les talons et comme tu les dis si bien cela décentre de la planche.
Sur la photo Pritchard est peu bordé quand même...il borde plus dans la descente.
J'aurais tendance à dire pas trop border en montant, mais bien border en descendant.
Dommage que vincent Caro ait son ordi en vrac car lui, il fait des backloop de mammouth! Il a surement d'excellents conseils!

ah oui c'est sur que Vincent pour le coup, il les enfile comme les perles!

mais j'ai l'impression qu'en fait il y a differentes ecoles, tout le monde ne back pas pareil. Il y a qu'a regarder un stephane Lefebvre qui a une technique bien particuliere ou effectivement pritchard qui est relativement ouvert pour refermer la descente.

Vincent ayant toujours visiblement quelques soucis, je vous livre ici un petit mail qu'il m'a envoyé en reponse sur le sujet


"Le plus important selon moi c’est la main arrière très reculée, ensuite la vitesse de rotation à l’atterrissage. Si tu tournes doucement tu poses doucement si tu tournes comme une brute, une fois passé l’axe du vent tu te fais arraché. En fonction de la progression de la manœuvre tu ouvres ou tu fermes pour avoir le bon axe à l’amerrissage. 2 écoles : 1ère école, tu tournes très tard sur la descente (1 partie Hugh jump en attente de perte de puissance dans la main arrière et 1 partie descente avec contrôle axe/vent) 2eme école, tu tournes plus tôt et de façon plus continue en parcourant plus de distance au vent arrière dans la descente, plus joli, mais plus technique dans le vent fort je trouve."

Merci Thomas de relayer des infos somme toutes intéressantes ! Je pense qu'on doit adapter sa rotation aux conditions: si belles rampes verticales et donc hauteur ad hoc, une rotation "late" sur la descente avec atterrissage en piqué ; si plus version gros clapot, s'engager avec les épaules avant l'apex du jump (si j'ai bien compris). Après, va aussi falloir que j'évacue la flippette d'une réception nose-dive-submarine !!!

je confirme ce qu'a dit thomas, c est à dire se redresser et se mettre bien au dessus de sa planche avant d'envoyer.
Effectivement pour la technique du high jump, late, il faut être assez haut. En dessous de 4 metres ça parait court, à ce moment là, la technique à plat me semblerait plus indiquée (mais j'aime moins).
J'arrive bien à monter en high jump, puis a me coller au wish en reculant la main arriere puis a balancer le maros devant. Par contre j'ai du mal à gérer l'ouverture de la voile pour grapiller les quelques degrés restants et eviter de partir en piqué trop raide. Après quand on ouvre trop on repart pour le 2 eme...et là c'est le drame! lool
Quand tu vois Fernandez pomper sa main arrière plusieurs fois pour ajuster, ben y a du boulot encore!!!

les mecs qui pompent en l'air, c'est pas pour ajuster, c'est une techique bien connue pour faire decrocher les filets d'air de la voile et du coup la neutraliser. C'est une bonne technique pour poser des back quand on est surtoilé, faut il encore maitriser suffisamment pour etre capable de pomper en l'air

une vidéo rigolotte avec notamment NIco Akgazcian en coach

C'est dommage, j'entends pas bien les conseils de Nico A.
Mais effectivement mon engagement est beaucoup plus violent !
Vivement du vent !!!

oui tu envoie du push en fait !
un tuto bien fait je trouve c est adam lewis quand il faisait partie de la black academy sur u tube;

effectivement super bien expliqué je le remet ici pour tout le monde

Top!

Dans le même style, bien détaillée également :
https://youtu.be/L2L6cEcKORs

j'ai jamais trouvé celle de tws très clair, comme celle sur le front, ils redonnent les memes clés que dans les mags mais je trouve que c'est pas bon et qu'il manque des choses pour vraiment réussir

En regardant des vidéos pour me motiver pour les sessions à venir (dont le retour du Big5Challenge de WindsurfingTV ), je me suis posé une question... Votre regard, vous le portez où, pour l'amerrissage ???
Je pense qu'en plus d'un mouvement d'épaule trop important qui pousse mon back en push, il va falloir que je cherche à pointer mon regard "sous le vent" ! Clairement, les mecs qui posent des "high-back" nose-divent après avoir pas mal dériver en l'air ! Et j'imagine que chercher à rester dans sa ligne de navigation risque d'amener le corps à passer au dessus du gréement, alors qu'en cherchant à se poser sous le vent, ça permet de rester sous le matos...
C'est juste une élucubration de mon cerveau en manque de plancton, ou bien ???

Il y a beaucoup de sortes de backloop, par exemple :

- L'impulsion et la rotation parfaite en sortie de vague : rotation douce lente et constante du début à la fin, là faut vraiment doser

-celle où on monte comme un high jump face contre la levre ensuite il faut faire touner en bordant fort vers l'arrière comme souvent vu à pozo, la rotation se fait alors à la descente

- une autre variante est de tourner fort dans la montée comme pour un push puis de neutraliser totalement à l'apogée en sur bordant (là je vois des images de Boujma défiler par ex)

D'une manière générale ce que les pro font beaucoup mieux que les amateurs c'est de bien neutraliser le gréément dans la descente en se plaçant bien en arrière du flotteur pour encaisser l'arrêt brutal en nose dive.

Mon plus gros défaut c'est de garder très souvent le corps et l'épaule trop vers l'avant du flotteur, je touche l'eau en même temps que le mât alors qu'il faut que le corps touche l'eau en même temps que le cul de la planche donc à la toute fin d'amerissage

le regard quelque soit le move doit se porter la ou tu veux finir, en back il va d'abord etre vers le haut au debut du saut, par dessus l'epaule a l'apogée et vers la zone d'atterissage a la descente.


j'ai les memes défauts que toi laplaya c'est ce qui me conduit a en poser en gros 1 sur 3 voir moins. la force du vent joue un grand role aussi dans le back, plus c'est light et la voile neutre plus c'est facile a poser, plus on a d'air dans la voile plus il faut parvenir a neutraliser la voile mais c'est pas simple.